Top 2014 – Sylvain

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Čokovoko – Perioda

*gag*On commence avec un groupe de féministes tchèques, extrêmement violent, ce texte est à propos des menstruations, le beat est bon celà dit.

Tata Bojs – Attention aux hommes

*gag*Toujours des Tchèques, les tata bojs, qui me font penser un peu à un TTC sans doute en plus gentil, si je comprends bien.

Alaska Gold Rush – The Gallows Birds

Alaska gold rush, la trouvaille de mon cher Billou, qui m’a emmené les voir dans le chef lieu hipster où l’on a bien failli se battre avec des lâches à barbe qui tappaient sur des femmes. Ils y vont un peu fort dans le rayon Two Gallants mais ce morceau en particulier est un coup de coeur pour son intro. Le reste est un rien naïf, mais j’aime, on voyage.

Orelha Negra – Tanto Tempo

Rap portuguais, entendu sur le toit d’un immeuble à Lisbonne, une espèce de rooftop parking lot club branché, très groovy.

Harold Alexander – Sunshine man

Harold Alexander, entendu dans le petit café cool où j’ai pas mal été avec Bara, l’Athenée à ixelles.

Art Fact – Rain In The South

Entendu au même endroit : Art Fact, totallement trop hipster à l’excès,ça se gêne pas pour copier, je dirais limite à éviter, mais un peu saoul, ce morceau en particulier m’avait plu.

Pavlos Sidiropoulos – En katakleidi

Pavlos Sidiropoulos, qui me fait toujours penser à la crise, parce qu’il est grec, snif.

Future Islands – In the Fall

Future Islands, mais pas de redite avec Renaud ici, le morceau In The Fall est pas sur les albums. Billen et moi l’avons découvert et adoré tout de suite. On a adoré le concert aussi. Tout tout bon morceau “Haunting 5/5”.

Fischer Dieskau – Franz Schubert, Die Winterreise Op.89, XXIV. Der Leiermann

Accrochez-vous, rangez vos préjugés anti-intellos, je reviens encore à Schubert avec une autre chanson du cycle Winterreise; la dernière fois je vous présentais Gute Nacht, où Schubert, au crépuscule de sa vie, se transporte dans un personnage qui débute un voyage glacial et triste et dit “Bonne nuit, au revoir”. Schubert était effectivement gravement malade. Cette fois-ci, le morceau de fin du cycle, Der Leiermann. C’est limpide, même pour ceux qui ne comprennent pas l’allemand. Je l’ai redécouvert bien par hasard en regardant In Bruges (très bon j’ai trouvé), ça passait en fond et je me suis dit, tient ça ressemble à Winterreise, bingo. Beaucoup d’interprétes différents et bien sûr, j’ai retenu “Disco Fischer”, de son vrai nom Dietrich Fischer-Dieskau, ex-aequo avec Andreas Schmidt.

Et pour ceux qui veulent se moquer, une version chantée par un nain, mais j’aime pas qu’on se moque !

De Helaasheid der Dingen

Sinon, cette année, j’ai souvent bloqué sur du rap low temp et low-fi, quelques exemples,
de helaasheid der dingen (la merditude des choses).

Wessex heights

(images sans importance)

The Dictionary of Obscure Sorrows

et enfin The dictionary of obscure sorrows, j’aime beaucoup. Quelque chose s’en dégage, une espèce de narration à la “The assassination of jesse james by the coward…”, essayez de les regarder du plus ancien au plus récent.

 

Johnny
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